Cette alliance, approuvée à une très large majorité par les membres du mouvement, marque un changement de stratégie pour Rennais Confluences, qui privilégiait jusqu'alors l'autonomie au premier tour des élections.
"Ce n'était pas dans notre ADN puisqu'on était toujours en autonomie au premier tour, mais c'est vrai que cette fois, dans cette période d'instabilité démocratique chronique, et puis au regard aussi des enjeux qui nous attendent, c'est vrai que les militantes et les militants écologistes ont eu envie de cette union de premier tour qui répond aussi à des attentes du peuple de gauche et des rennais et des rennais", explique un représentant du mouvement.
Un programme ambitieux pour l'environnement
L'accord programmatique entre les deux formations comprend plus de 200 propositions. Parmi les projets phares figure notamment "la lutte contre le réchauffement climatique pour la végétalisation du territoire avec ses 800 000 arbres et plantations bocagères pour relier la forêt de l'Ifré à la ville de Rennes".
De son côté, Nathalia Appéré, maire de Rennes, a déclaré dans un communiqué "accueillir avec enthousiasme cette décision de rejoindre la dynamique d'union pour les municipales de mars prochain".
Cette alliance de premier tour vise à constituer une liste d'union de la gauche pour les prochaines élections municipales à Rennes.
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